22 juin 2010

En solitaire à deux



Dans l'éternité passagère
D'un couché de soleil
Un homme parcourt la plaine
Errant seul à la dérive
Des vents lointains de sa mère patrie
Pas âme qui vive sur son chemin
Seul le bruit de ses pas
Caressant l'herbe sèche de cette fin d'été
Lui rappelaient qu'il avançait encore et toujours
Dans ce territoire vague et infini
Ce néant vert le guidait, l'escortait, le suivait
Parti depuis deux jours des bras
De sa compagne qui pleurait son départ
Une étrange sensation l'envahissait,
L'oppressait, l'inondait de questions sans réponses
Mais la solitude n'était pas son soucis premier,
Ses préoccupations s'orientaient davantage sur le
Bien-être de sa femme
Qu'il n'appellerait plus jamais sienne.
Comment aurait-il pu la consoler à ce moment
fatidique qui les sépara définitivement?
Dans ses moments de lucidité, il se consacrait
Au présent sans pouvoir envisager l'avenir
Quel qu'il puisse être
Car maintenant en solitaire, il naviguait avec
Pour seule compagnie cet océan de verdure.

Histoire:
J'ai écris ce poème deux jours après que mon ex
me quitte. Il a été retravaillé de nombreuses fois
et pourtant je pense pouvoir encore l'améliorer.
A noter que c'est le seul poème en prose que j'ai écrit.

Poème anniversaire

Voici depuis bien longtemps
Que, sur cette terre vivant,
J’accomplis tant et tant
Aujourd’hui est le bon moment
Pour conter mes 50 ans.
Il fut un jour au soleil levant
Un 29 Mars unique en son temps
Ma vie commence à cet instant
Manuel et débrouillard comme maintenant
J’arpentais la dure existence d’un enfant

Mai 68, Juillet 69 se succédant
J’accédais au collège sans grand succès malheureusement
Arrivée en BEP et au marché la semaine finissant
Puis Dijon, la moutarde, le régiment
Les soirées entre amis en cellule de dégrisement
Puis vint une demoiselle qui me plut particulièrement
A la fête de l’huma nos regards se croisant
Nous voilà partis pour le Sud sans argent
Plus belle la vie nous disaient les gens
Mais tout s’enchaîne, le mariage, 1er enfant

Et bien pire, le quart de siècle, mes 25 ans
J’entrais à l’Argensol entre temps
Enfin stable : un boulot, une famille, un appartement
Quoi de mieux pour un jeune couple insouciant ?
Mais voilà qu’il faut régler plus urgent
Trouver une maison : un travail de titan !
La faire construire, c’est mieux apparemment
Enfin la voilà au bout d’un an.
Quoi de plus merveilleux qu’un … autre garnement ?
Il grandit trop vite et dangereusement

Une blessure ou une frayeur au moins deux fois par an !
Mais comment lui en vouloir ce n’est qu’un … adolescent
Qu’ai-je fait, où étais-je, dormais-je tout ce temps ?
Non seulement il serait trop long et fatigant
De parler de chaque année précisément
Quoi qu’il me vient un évènement
Que je me dois de raconter, c’était marrant
Comment oublier mes 40 ans ?
Mais j’en viens je vous rassure au plus important
J’aimerais aujourd’hui revivre cet instant

Bon j’en étais où, je parlais de quoi juste avant
Ah oui, l’an 2000 était là et arrive Vincent
Un cadeau pourrait-on dire tout simplement.
Je me souviens de cette joie m’envahissant
Et des promesses de rentrer à temps…
J’accélère le rythme, la foule s’impatientant
Je voudrais remercier ma femme et mes enfants
Mes amis, mes collègues, mes clients
Et voilà où j’en suis maintenant
Une nouvelle vie commence, j’ai 50 ans !

Histoire:
J'ai écris ce poème pour les 50 ans de mon père.
Si vous y avez prêté attention, vous verez qu'il
y a exactement 50 vers répartis sur 5 strophes,
chacune représentant une décennie. Il a pour ce faire,
été retravaillé bien sûr. Il était composé de 54 vers
à l'origine mais le découpage en strophe n'a posé que peu
de soucis. Sinon si quelqu'un a un meilleur titre à proposer,
je suis toute ouïe.

Problèmes de langage

En relisant ces pages
je me souviens très bien
de ces moments d'étreints
de nos noces de mariage
je me rappelle de tout
jusqu'au moindre petit bout
de ce moment de communiage
j'espère le refaire
avant d'être grand-père
pour avoir le courage
d'effectuer de nouveau
des positions mégalo
sans souffrir de blocage
je vous raconte bien sûr
ces mouvantes aventures
à l'endroit du dormage
j'excelle en ce domaine
protégé par des persiennes
à l'abri des visages
j'ai comblé ma mie
à quatre pattes sur son lit
sans notice d'assemblage
bien qu'elle fut ma première
sans expérience derrière
j'accomplis cet ouvrage
vous me direz plutôt
à son mariage puceau
y'a un gros décalage
et bien non c'était vrai
avant je ne l'ai pas fait
Quel dommage!

Histoire:
J'ai essayé d'écrire un poème avec une rime phare
qui revient tous les trois vers, certes le style
n'est pas très élaboré mais j'y suis arrivé.

Un combat ennuyeux

L'ennui, un pêché? Un supplice
Que l'on endure, qui nous poursuit
Nuisible à tant d'êtres en vie
Et qui nous plonge en un abysse

Cet ennui qui nous pourchasse
À tout moment à tout endroit
Et tous les jours l'on guerroie
Jusqu'à ce que l'on trépasse

C'est ce démon invincible
Qui traque nos mouvements
Et sans divertissements
Nous devons alors la cible

C'est ainsi qu'à cette heure-ci
J'exprime ma faiblesse
Je m'ennuie je le confesse
J'ai perdu face à l'ennemi

C'est pourquoi je compose
Ce poème en toute rime
Comme une lutte en excrime
Et si je perds alors je prose

Mais seul je suis face au démon
Seul et faible face au pouvoir
De ce monstre de désespoir
Ainsi je perds alors je prose

Histoire:
Un de mes poèmes de période funeste

Triste sort

La vie ne nous prive
De cet heureux destin
Que nous appelons fin
Et quand il nous arrive

Ce passage d'ouverture
Qui nous fait tant peur
Que l'on prend comme malheur
Et que l'on dit pourriture

Cet instant de mépris
Qui conclut notre vie
Et qui comme un accord

Termine le passé
Le futur est effacé
Et l'on arpente la mort

Histoire:
Un de mes poèmes de période funeste

Dernier vers

Quand on sombre enfin dans la dépression
Perdant tous ses repères, ses propres bases
Accompagné de toute l'émotion
De notre passé et de nos emphases.

Quand on coule dans cette profonde abîme
Sans pouvoir un jour penser en sortir
Que l'on sait pourtant qu'alors on déprime
Qu'avec réflexion l'on peut en partir.

On reste pétrifé en ce moment
Sans pouvoir bouger d'un tout petit pas
Ni se déplacer en un mouvement
Quand on est seul en est las.

C'est alors là qu'une aide nous est prévieuse
C'est ainsi que nos amis en sont fiers
Ils nous apportent une vie merveilleuse
De l'obscurité surgit la lumière

Histoire:
Un de mes poèmes de période funeste

Confessions

La vue d’une beauté
Eblouie à mes yeux
A tous ces jours heureux
De l’immortalité

Une silhouette parfaite
Elle apporte à mon cœur
Un immense bonheur
Comme un jour de fête

Cette lumière divine
S’accompagne de savoir
De sympathie et de gloire
Aux amours clandestines

Cette intouchable lueur
Impossible d’approche
Même d’amitié si proche
Chamboule tout mon cœur

Cette instable souffrance
Anime en mon être
Une explosion de lettres
Un poème sans cadence

Ce texte m’aide enfin
A sortir des pensées
De ton être s’évader
Et finir le Destin.

Histoire:
J'ai écris ce poème pour une amie (encore une autre)
qui n'allait pas bien, j'ai pu lui remonter
le moral en lui faisant lire ceci.

Que dire ?

L’incapacité de parole
M’a fait prendre conscience
Que ce que je ressent et pense
N’a qu’un petit pouvoir frivole
J’espère qu’à cette heure-ci
Quelqu’un sur Terre peut comprendre
Je devrais alors réapprendre
Ce que parler a réussi
Pourtant je ne peux que me taire
Et me résoudre à écouter
Ce que la parole a causé
Là, le silence est nécessaire.

Histoire:
J'ai écris ce poème après avoir dis un grooooosse
bêtise. Non, je ne dirais pas laquelle.

La solitude

Quand on est ensemble on revit
Être accompagné de tous ses amis

On accepte son entourage
Ainsi on prône le partage

On aime à être ensemble
Entre gens qui se ressemblent

On laisse ses soucis de côté
On oublie ses préoccupés

Mais si un jour on nous délaisse
C’est l’ennui qui nous tient en laisse

Ou on s’occupe, on s’habitue
Pour ne pas rester à la rue

C’est ce qu’on dit à tous les autres
Pour ressembler à un apôtre

Mais dans les faits on perd l’envie
D’acquérir ce goût de la vie

Car cet effet de lassitude
On l’appelle ainsi la solitude !

Histoire:
J'ai écris ce poème le jour de mes 17 ans, en fait
c'est une simple coïncidence calendaire, car c'était
aussi le lendemain de ma rupture avec ma première petite
amie.

Amour passé



Alors que je pensais à mon dernier été
Je comprenais enfin une chose essentielle
Un aspect de ma vie, qui me rendait mortel
Ce principal envie, qui m’a fait deviné

Ce penchant que pour toi, j’ai si longtemps caché
Ces passions fougueuses de mes amours charnels
Qui te rendaient folle, qui te rendaient si belle
Pourtant je m’éloignais par ma timidité

Mais aujourd’hui je sais, ce que tu m’as appris
Je voudrais écrire ce que j’en ai compris
J’affirme cette fois mes émotions vécues

J’espère qu’un jour tu reliras ce poème
Tu comprendras alors tous mes petits problèmes
Mon premier étant de t’avoir un jour perdu.

Histoire:
Début de l'été, je me souvenais de mes années collèges.
Pour ceux que ça intéresse,j'ai écris ce poème à Carboneras
en Espagne.

Fred

Alors que je pensais
Ce qui m’est assez rare
A ce qu’on ressentait
Quand la jeunesse se barre

J’imaginais mon parrain
Inondé de courbatures
Et tenant son bassin
De sa large ceinture

En contemplant mon daron
Et ses problèmes osseux
Je voyais ce mecton
Mon parrain qui s’fait vieux

J’espère pas te vexer
Par ces mots un peu durs
Tu pourrais te coincer
Du dos - à l’encolure

Je sais c’est très sympa
Mais tu me connais bien
Des compliments y’en aura pas
D’l’hypocrisie encore moins

40 balais ça fait du ch’min
C’est pourquoi j’écris beaucoup
Avec ça tu nettoies bien
Et pendant c’temps j’fais rien du tout

Et oui, c’est ça la vieillesse
Les jeunes manquent de respect
On perd ses ch’veux on prend d’la graisse
Et plus ça va, plus on est laid

40 ans c’est beaucoup
La moitié d’une vie
Ainsi buvons un coup
A notre futur papi !

Histoire:
Comme vous vous en serez doutez, j'ai écris ce
poème pour les 40 ans de mon parrain. Ce qui m'a
permis de travailler un peu plus mon style.

La douleur



La douleur par elle-même
Nous empêche le plaisir
Lui, qui nous fait souffrir
Ce plaisir, quand on aime

Se séparer de l'autre
Nous sépare de nous.
Cette vie qu'était nôtre
Cette mort, ce tabou.

La douleur par elle-même,
Le coup, le sang qu'on sème,
La souffrance née de l'autre,
Qui nous frappe qui est nôtre.

Une tuerie interne,
Qui se meurt, qui détruit,
Cette perte de vie
Qu'on évite, qui nous cerne.

La douleur par elle-même
Paralyse comme la peur
Évidente et idem
Pétrifie par horreur.

Enfin quand c'est fini,
Que le mal est parti,
Que la mort est très proche,
Figé tel une roche,

C'est cette douleur humaine,
Qui fait vivre un espoir,
Une chance de voir,
Ce plaisir qui nous peine.

Le plaisir de tout homme,
Qui peut créer courage,
Qui émane qui embaume,
Cet amour, cette rage

Que l'on fuit que l'on course,
Un pouvoir, une source,
Qui réjouit et fait peur.
Ce plaisir qu'est la douleur!

Histoire:
Tout ce dont je me rappelle en ce qui concerne
la période à laquelle j'ai écris ce poème
c'est que ça n'allait pas fort du tout et
l'écriture m'a toujours permis d'exprimer mon mal-être.

Telle est la question



Oui, je le dis encor, je ne m’apprécie pas
J’admire les autres et me rejette tant
C’est si difficile d’apprécier tout ce temps
D’idolâtrer son moi, de s’aimer juste soi

Je me déteste tant, que regardant mes pas
J’aimerais n’être là, que parfois seulement
Et c’est pourtant de là, qu’à mon être pensant
J’ai aimé ce moment, de pouvoir être là

Et c’est depuis ce jour, que je pense à moi-même
Pour trouver une amie, ou alors une femme
La bonne compagne, ou peut-être la flamme

Et pensant à mon tour, j’eus un petit problème
Pourrais-je un jour t’aimer ? Me détestant ainsi
J’ai pourtant essayé, de n’être qu’un ami !

Histoire:
J'ai écris ce poème pour une amie, elle m'a mis
un rateau ce jour-là mais on est resté très bons amis.

L'ange

Un ange passe
Laissant derrière lui
Une traînée ravie
De lumière vivace
Entraînée ailleurs
Vers un nouveau monde
Une mer plus profonde
Que l'abîme des peurs
Il a conduit d'une aile
Une chaîne non rompue
Incassable et pourvue
De maillons pleins de zèle
De l'autre il accueil
Souhaite la bienvenue
A tous les inconnus
Égarés ou en deuil
Cette nuit-là je pensai
A cette vie injuste
Qui dévore et déguste
Ce moment de gaieté
C'est que je vis
Sans nulle peine
Et sans aucune haine
Cet astre désuni
Cet ange gracieux
Plein d'hardiesse et d'élégance
S'en allant en une danse
Au fin fond de nos cieux

Histoire:
Une amie qui étudiait l'art plastique devait
réaliser une œuvre dont les contours seraient
du texte, son poème commençait par
Un ange passe, laissant derrière lui...
le reste est de moi

Mots d'esprit

Arrivée en chambre, j’accueillis ma compagne.
J’entrepris en un coup de pouvoir la tirer
De ce mal infidèle, excitant les mariées.
Elle attendait frivole, attachée en un bagne.

Mais la nuit fut rude, en petite campagne.
N’ayant pas de voisin, elle fut agitée
Par un quelconque entrain, de nos corps enlacés.
Nos penchants amoureux, plus tordus qu’en montagne

Animaient nos passions, inertes en émois.
Elle m’a offert son corps, en gage d’une vie
Emplie de vives mœurs et comblée de nos voix.

En cet instant je sus, l’accord de nos esprits
Unis en un seul point, usé de profondeurs
Emplies de quelque fluide, maculé sur nos cœurs

Histoire:
J'avais envie de me mettre au sonnet mais pas la moindre
inspiration, j'avais donc demandé à un ami un thème:
le sexe. Je lui ai promis de l'écrire en 24h, j'en ai
mis 48 mais ça valait la peine, non?

Le chemin

Ô toi! Chemin obscur
Que la lumière n'a pénétré,
Ton mystère si caché
Nous ébloui d'un bleu azur.

Ta dérive, ton cheminement
Serpentent comme une ruelle.
Ta beauté, ton corps dansant
S'exclament si peu ... si grêle.

Si l'on entre en ta maison,
Avec tes murs et tes plafonds.
On est pris d'une seule envie,
Celle de trouver la sortie.

Ta porte ouverte nous invite.
Mais ton mur nous piège!
Cette prison nous assiège!
Pourtant on ne l'évite.

Enfin lorsqu'on sort de ton palais,
De ton musée de nature vivante,
C'est alors qu'on est invité
A revisiter ta tente.

Ce qui finit notre rencontre.
Cette amitié qui nous montre,
Qu'un jour je reviendrai
Et sans sortir je rentrerai!

Histoire:
J'ai écris ce poème en cours de français
alors qu'on étudiait Verlaine. J'ai tenté
comme lui de finir par un vers marquant.
En espérant y être parvenu!

La vie

La vie n'est qu'une suite
De secondes de minutes
Où l'on prend la fuite
Où l'on marche, où l'on lutte

Ce cours d'eau si paisible
A notre naissance
Rend alors invisible
Toutes ces différences

Tous ces changements
Ces aventures stupides
Ces bouleversements
Ces descentes si rapides

L e désespoir humain
C'est ce que je pense
C'est de voir la fin
De cette affluence

Ce qui cause une perte
N'est pas le destin
Mais une demeure inerte
Ou un gros chagrin

La conclusion de tout
Ce qui vient d'être dit
C'est un mot tabou
Ce grand mot qu'est la vie.

Histoire:
N'étant qu'au début de ma période funeste,
je me raccrochais encore à la vie (dans mes
poèmes). Celui-ci a été retravaillé, enfin
je veux dire que j'ai réarrangé les strophes
pour que ça soit plus fluide (sans jeux de mots)

Pan!

A la vue d'une beauté
j'écris ces mots funestes
car mon cœur délaissé
ne garde plus qu'un reste

de ce jour malheureux
qui hanta ma vie
et qui rendit joyeux
l'effet de sodomie

je ne puis oublié
cette tendre déesse
qui me fit voyager
de son cœur à ses fesses.

Je me rappelle encore
ce triste après-midi
où par un désaccord
j'ai du quitter son lit.

J'aspire à la revoir
de nuit comme de jour
que je puisse savoir
où partit son amour.

Elle qui m'aimait tant!
Avec des mots avec des gestes
et qui m'a dit pourtant
qu'à ses yeux j'étais un leste.

Je ne peux comprendre à ce jour
pourquoi m'a-t-elle accusé
d'avoir brisé pour toujours
ses sentiments désabusés.

Je pensais la rendre libre
la sauver d'un triste avenir
lorsqu'elle sortit son gros calibre
avec ces mots:"Faut en finir!"

Égoïste que je suis
je me protégeai de l'arme.
Mais c'est elle qui partit
sans verser une larme.

Depuis ce moment d'adieux
je broie du noir à chaque fille
dont je pressens dans ses yeux
une profonde lueur qui brille.

Je m'en excuse par avance
de gâcher les festivités.
Je vous laisse à vos danses.
Je dois désormais vous quitter.

Un dernier mot pourtant
pour ainsi clore ce chapitre.
Je vous reverrai dans longtemps.
Je pars, adieu, le titre!

Histoire:
Le premier poème que j'ai écris dans un style
assez funeste, une liste relativement longue
s'en suivit. Je posterai ce que j'ai conservé.

La beauté

La beauté est pour moi une inspiration
Telle qu'elle pourrait me faire écrire
Un livre un roman une composition
Mais seuls les poèmes j'arrive à finir

Celle qui émane de votre corps
Est particulièrement spéciale
Elle inspire le réconfort
Mais aussi la peur brutale

Par votre main je vis un obstacle
Un compagnon mari ou fiancé
Et c'est ainsi que je bâcle
Ce poème qui vous est destiné

Pour finir je vous rassure
Je n'ai que 16 ans
Ceci signe la cassure
De ce poème charmant

Histoire:
J'ai écris ce poème dans un train.
Pendant l'écriture, j'ai vu une alliance
à la main gauche de la femme en question.

Le sentiment amoureux

L'amour n'a pas d'âge
Et c'est totalement vrai
Si seulement mon visage
Pouvait le justifier

Aimer c'est une joie
Mais aussi un supplice
Heureux d'être soi
Malheureux d'être un vice.

Hisoire:
C'est le poème le plus vieux que j'ai conservé,
à l'époque j'écrivais ce qui me passait par la tête
sans chercher à améliorer l'écriture (ce qui s'applique
à la quasi-totalité des poèmes à suivre, je spécifierai
les poèmes retravaillés)