La vie ne nous prive
De cet heureux destin
Que nous appelons fin
Et quand il nous arrive
Ce passage d'ouverture
Qui nous fait tant peur
Que l'on prend comme malheur
Et que l'on dit pourriture
Cet instant de mépris
Qui conclut notre vie
Et qui comme un accord
Termine le passé
Le futur est effacé
Et l'on arpente la mort
Histoire:
Un de mes poèmes de période funeste
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