22 juin 2010

Le chemin

Ô toi! Chemin obscur
Que la lumière n'a pénétré,
Ton mystère si caché
Nous ébloui d'un bleu azur.

Ta dérive, ton cheminement
Serpentent comme une ruelle.
Ta beauté, ton corps dansant
S'exclament si peu ... si grêle.

Si l'on entre en ta maison,
Avec tes murs et tes plafonds.
On est pris d'une seule envie,
Celle de trouver la sortie.

Ta porte ouverte nous invite.
Mais ton mur nous piège!
Cette prison nous assiège!
Pourtant on ne l'évite.

Enfin lorsqu'on sort de ton palais,
De ton musée de nature vivante,
C'est alors qu'on est invité
A revisiter ta tente.

Ce qui finit notre rencontre.
Cette amitié qui nous montre,
Qu'un jour je reviendrai
Et sans sortir je rentrerai!

Histoire:
J'ai écris ce poème en cours de français
alors qu'on étudiait Verlaine. J'ai tenté
comme lui de finir par un vers marquant.
En espérant y être parvenu!

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